Série « L’école de la rue qui monte » – La plus belle des toiles

ROMAN – Dès 7 ans *
De Hubert BEN KEMOUN
illustré par SESS
Editions Flammarion jeunesse  – Collection (Castor romans) – Série « L’école de la rue qui monte » – 5,95  €

La sortie scolaire des élèves de la classe de Mademoiselle Malaga au musée des Beaux-arts va bouleverser la vie de Camille qui va y faire une surprenante découverte.
Ce matin, une sortie au musée des Beaux-arts est organisée pour les élèves de la classe de Mademoiselle Malaga. Après un départ un peu stressant pour la maîtresse et les « petits tracas » d’un voyage en bus, la visite commence.
Chacun réagit à sa manière devant les œuvres présentées par Mademoiselle Malaga mais lorsqu’Enzo découvre un tableau sur lequel il pense reconnaître la maman de Camille, c’est l’étonnement pour tous et les questions fusent de partout. Camille est troublée, elle n’a pas les réponses. Plusieurs détails prouvent que c’est bien sa maman : les mêmes cheveux, les mêmes yeux, la même bouche…… Comment sa maman a-t-elle pu lui cacher ça ?
C’est une maman, accompagnant la sortie et amie de la maman de Camille, qui dévoilera le secret de ce tableau.
Ce qui permettra à Camille de comprendre pourquoi sa mère a posé pour un peintre et de dire « J’ai toujours su que j’avais la plus belle des mamans ».

C’est le deuxième roman de la série « L’école de la rue qui monte » et qui met au cœur de l’intrigue Camille, une des 24 élèves de la classe de Mademoiselle Malaga. Cette série aborde des petits événements caractéristiques de la vie d’une classe avec toujours ce petit plus, l’intrigue, dont le dénouement va changer la vie du héros et faire que les choses ne seront plus tout à fait comme avant.

L’histoire, pleine d’humour et tellement proche des réactions des élèves, aborde quelques réflexions intéressantes « chaque personne qui regarde une œuvre y voit ce qu’elle veut » ; « nous ne sommes pas obligés d’aimer les mêmes œuvres »….
Bonne description de « l’ambiance » d’un musée et de l’attitude que l’on doit avoir pendant une visite « on est calme, on regarde, on ne touche pas »…